Oui c’est sur que les mémoires de tous ces types exploitants/placiers, à cheval entre la pègre et le commerce de façade, feraient de bon romans policiers !
Ça me rappelle cette interview de Tel (Jeutel) qui, même si on était pas dans la mafia des bistrots, était assez croustillante ;-)
(Notamment le fameux coup ou à un salon ils avaient planqué les cartes Jamma dans le sol, reliées aux bornes juste par le harness, de manière à garder les jeux incriminés lorsque les flics venaient perquisitionner et chercher les bornes !)